C’est ce que j’ai voulu retransmettre dans ma toile. Le cadrage est volontairement serré pour laisser place au regard, surgissant de la pénombre.
« Sa fourrure était une nacre aux reflets bleus. Pour cela on l’appelait panthère des neiges : elle arrivait comme la neige, silencieuse, et se retirait à pas de feutre, fondue dans la roche. » Extrait de La panthère des neiges par Sylvain Tesson.